Merci de nous avoir suivi…

Ce blog colofa.ovh  est le complément de notre site colofa.fr.

Nous espérons que notre logiciel MAJORDOME©, ambitieux et très efficace soulagera de nombreuses familles, le caractère pédagogique et novateur étant largement plébiscité par les primo utilisateurs et utilisatrices.

Ce blog est destiné à établir un lien solide avec toutes les familles soucieuses de prendre en main leur avenir, de ne plus subir mais  d’intervenir efficacement sur le cours naturel de la vie.

Notre but consiste à décrire aussi simplement que possible le concept de Gestion de la Problématique Familiale qui a guidé le développement du logiciel, afin de bien maîtriser toutes les fonctionnalités et permettre ainsi à chacun d’adapter sa stratégie de gestion familiale en fonction de ses besoins personnels.

Avec MAJORDOME c’est le logiciel qui est au service des utilisateurs, il obéit docilement, permet de faire de substantielles économies et facilite les tâches fastidieuses de la vie courante.

Ceci constitue un point capital permettant de tirer le meilleur profit des efforts car le but final est bien d’identifier les points sur lesquels on peut (on doit) agir tout en sécurisant les biens, le budget, les documents .

En effet, nous sommes conscients qu’il n’est pas naturel de se transformer du jour au lendemain en ‘comptable’ sans un minimum de préparation, surtout lorsqu’on a pris la (mauvaise) habitude de régler ça ‘au mieux’ à la fin du mois en effectuant des coupes ‘au pif’.

Nous avons voulu au contraire ‘inventer’ un système qui reflète exactement la situation actuelle en s’appuyant sur les informations accumulées dans le temps, au fil de l’eau, pour constituer un ‘Big Data Perso’ servant de socle à une analyse pertinente des données.

L’ergonomie de MAJORDOME a été développée pour assurer une Gestion optimale :

► Aucune ‘notice d’utilisation’ rien à apprendre par coeur, il suffit de se laisser guider par les informations en façade de chaque formulaire et par la messagerie automatique ponctuelle, ce qui permet une utilisation discontinue dans le temps sans avoir le souci de se souvenir  ‘comment fait-on ?’ entre deux utilisations plus ou moins espacées.

Chaque Formulaire de Gestion affiche en façade les directives à suivre pour effectuer les diverses opérations, un système de messagerie automatique commente en direct le résultat de la tâche en cours et une aide contextuelle est active à tout moment en un clic sur le pictogramme (image sphinx).

Dix minutes par semaine sont consacrées à la saisie des dépenses de la SEMAINE et dix autres au début de chaque MOIS pour la mise à jour des charges et des comptes. Les évènements tels que RV (dentiste, médecin, réservation….) étant saisis au fil de l’eau évidemment.

MAJORDOME  est conçu pour conserver et analyser la mémoire des dépenses, des activités, des évènements, des biens… et pour soulager les tâches ingrates de classement et de recherche de documents tout en gérant les comptes, l’agenda, l’envoi de mails, la médiathèque, les connexions internet… Et pour restituer toute l’information sur simple clic, instantanément, inlassablement, quand on veut et sous une forme claire et simple !.

Ce n’est pas de la magie… c’est de la gestion informatisée.

Mais alors que fait-on le reste du temps ?….

► On scanne les factures et documents importants pour les placer automatiquement dans leur dossier respectif… avec le navigateur de fichier.

► On utilise le Formulaire « Gérer les médias » pour mettre à jour les listes de musique, de chansons, de vidéos…

► On photographie  les objets précieux, les meubles, les locaux, les véhicules, les animaux (ils peuvent se perdre…), la tondeuse, le motoculteur… , et on les place en sécurité dans leur dossier pour les ‘sortir’ en cas de besoin (inondation, cambriolage, incendie…) .

► On utilise le Formulaire « Gérer les Contacts » pour ‘entretenir’ l’agenda.

► On utilise le Formulaire « Gérer les connexions Internet » pour enregistrer et tenir à jour les adresses, les codes de connexion, les identifiants et mots de passe des sites web préférés, ainsi que les codes ‘secrets’ (banque, impots…)

GPF : Une ergonomie bien pensée est un gage de confort…

► Automatisation maximale des saisies : seuls les champs utiles sont activés en fonction du contexte (on ne saisit que l’essentiel).

► Boutons de commande colorés et clignotants (en fonction du contexte).

► Accès permanent à l’aide par simple clic sur le pictogramme ‘sphinx’.

► Minimum de formulaires (multi fonctionnels).

► Affichage des résultats de calcul direct en 1 ou 2 clics (saisie de période ou mot clé).

► Coloration des zones de résultat dans les grilles et graphiques.

► Messagerie automatique de signalisation d’erreur.

► Confirmation de résultat pour chaque opération Ajout/Modification/Suppression avec mise à jour automatique et inscription dans le livre journal concerné .

►Toutes les ‘erreurs de saisie’ peuvent être corrigées (dates, montants, texte…), son utilisation est si simple qu’il est à la portée d’un enfant de 12 ans.

 

Précédente            Suivante

Fin provisoire le 25-03-2018   20:49

 

LINUX

MAJORDOME est à présent compatible avec Linux pour le plus grand plaisir de nos programmeurs….

En effet, c’est avec joie que l’on peut enfin faire tourner notre application sur UBUNTU qui est la branche la plus connue de Linux.

Il a fallu « doubler » un certain nombre de commandes pour assurer la compatibilité parfaite Windows/Linux et finalement ce n’était pas très compliqué mais plutôt fastidieux !

Nous avons ajouté quelques dizaines de lignes au code source mais nous en avons profité pour en supprimer encore plus en rationalisant certaines procédures, donc le code est plus performant et plus léger.

Que dire de Linux sinon que c’est un monde merveilleux qui s’ouvre à des milliers d’utilisateurs de MAJORDOME grâce à l’infinie richesse des bibliothèques disponibles, une rapidité d’exécution surprenante, une qualité d’affichage parfaite, oui Linux mérite MAJORDOME et le sublime.

Python et l’Intelligence Artificielle

Et l’intelligence artificielle (IA) avec Python ?…

Premier malentendu : l’intelligence artificielle au sens strict de l’intelligence qui induit la conscience n’existe pas, un ordinateur n’a pas d’état d’âme , pas de sentiments, ce n’est pas un être, c’est une machine !

L’IA est une discipline scientifique basée sur des concepts très complexes (vieux parfois de 40 ans) relatifs à l’étude des probabilités par comparaison et traitement d’une foule de données par des méthodes dites ‘neuronales’, c’est à dire ‘singeant’ le fonctionnement du cerveau humain, que les médias transforment en terreau propice à la culture de tous les fantasmes.

L’ordinateur ne fait qu’exécuter le programme que les humains lui ont construit, le bon terme serait à mon avis  ‘hyper programmation’ ou ‘hypercode’ … ils nous ont fait le coup pour le téléphone MOBILE nommé à tort PORTABLE, d’ailleurs les opérateurs utilisent le mot MOBILE dans leur communication et non ‘portable’ car un portable est un téléphone fixe dont le combiné détachable de sa base a une portée limitée à une dizaine de mètres en appartement .

Selon la complexité ou le finesse de résultat recherché, tout programme informatique contient donc plus ou moins de’ l’hypercode’.

Le traitement des données par organisation neuronale est exploité par l’informatique notamment pour effectuer des sondages d’opinion, des opérations boursières, aide à la création des diagnostics médicaux sur des sujets complexes (cancérologie… ), l’automatisation de systèmes (robots industriels, robots de service …) ou les prévisions météorologiques… avec un indice de confiance exprimé en %, ce qui confirme qu’il ne s’agit que de prédictions plus ou moins justes !.

Il faut distinguer l’automatisation des tâches répétitives qui relèvent d’un CODE ordinaire et celle prenant en compte l’environnement (déplacements, respect de limites…) faisant appel a des techniques plus élaborées de type conditionnel avec traitement des résultats par filtrage et analyses successives en cascade (hypercode).

Le principe de fonctionnement en mode neuronal consiste à puiser un grand nombre d’informations stockées dans des bases de données et à les traiter dans des assemblages d’unités de calcul groupées en série et/ou parallèle qui vont utiliser des algorithmes mathématiques si complexes que dans certains cas on est incapable de justifier le résultat obtenu… c’est l’incertitude des sondages d’opinion par exemple où l’on ‘oblige’ l’ordinateur à donner une réponse contenue dans une ‘fourchette’, c.a.d une valeur non vérifiable mais qui parait plausible !

Mon chat détectait à une distance de huit mètres, derrière la porte d’entrée de l’immeuble, que j’actionnais la serrure de la porte intérieure de mon appartement… un ordinateur nécessiterait un ‘apprentissage’ de dizaines d’exercices d’enregistrement et reconnaissance des sons pour parvenir à lui faire distinguer ce bruit dans une fourchette de 20 à 30 décibels, soit un taux d’échec de 70%… car l’intensité du bruit et sa fréquence varient selon la vitesse et la  force exercée sur la serrure par le mouvement de la clé !, la ‘plage’ de réception auditive du chat est donc beaucoup plus vaste et sans commune mesure avec les facultés auditives programmables de l’ordinateur > miaou !.

C’est tout le problème de la reconnaissance d’image (faciale ou d’objet) :

En informatique, une image est supportée par une grille imaginaire formée de colonnes et lignes (cadre rectangulaire) , chaque intersection contenant un pixel (bit) et chaque groupe de huit pixels contenant un ‘paquet’ numérique composé de huit 0 et/ou 1 (octet), cet ensemble d’octets représente un point des diverses nuances de couleur qui forment l’image, rappel : la couleur n’existe pas, c’est la répétition des impulsions électriques qui excitent le cerveau par l’intermédiaire de l’oeil (nerf optique) traduisant ces impulsions en formes colorées. Sans un générateur d’impulsions électriques activant des diodes electro luminescentes (écran reproduisant le cadre) il n’y a pas d’image sur un écran.

Idem pour le son, ce sont des impulsions électriques qui actionnent par l’intermédiaire d’un electro-aimant, la membrane souple du haut parleur… qui produit une variation de pression sur l’air environnant… qui produit une vibration du tympan… qui envoie un signal électrique au cerveau… qui contrôle la résonance dans la boite crânienne.

On obtient l’effet inverse avec un microphone : l’air expulsé par la bouche exerce une pression sur la membrane souple du micro… qui fait varier l’intensité du courant électrique généré par un ensemble d’éléments électroniques qui ‘découpent‘ les signaux reçus en forme de créneaux dont la hauteur représente l’intensité (la puissance), et la longueur représente la durée dans le temps (base du solfège).

Lorsqu’on demande à l’ordinateur d’analyser (de lire) la composition d’une image, la première information qu’il nous donne est la taille de l’image (en fait le nombre de pixels contenus dans ce cadre) et il peut nous donner aussi le nombre de pixels révélant à nos yeux les ‘couleurs’ rouge, vert et bleu dans chacune de leur nuance (du plus foncé au plus clair) .C’est en exploitant ces informations que l’on peut modifier des images.

Pour ‘dresser’ un ordinateur à ‘reconnaître’ une image il faut d’abord la lui montrer à l’aide d’un scanner, on lui demande de copier cette image, il va le faire à l’identique, au pixel près et pourra ainsi dire à coup sûr qu’il la reconnait si on la lui représente parce qu’elle est IDENTIQUE, jusque là c’est facile, mais si une quelconque altération existe dans une image similaire elle est ‘non identique‘ et c’est ce que l’ordinateur va répondre !

Si l’on prend l’exemple de la reconnaissance d’un panneau de signalisation routière tagué ou seulement mouillé par la pluie, le réponse sera catastrophique car l’ordinateur ne reconnaîtra pas cette image puisqu’il ne l’a jamais ‘vue’ !, et même si on le ‘dresse’ à reconnaître un panneau mouillé ou tagué il ne sera jamais ‘identique’ à celui qui se trouve sur la route ce jour là, ors même un enfant donnerait la bonne réponse grâce à un calcul rapide de similitude, ce qui impliquerait l’envoi de centaines voire des milliers d’images à l’ordinateur de bord en quelques fractions de secondes en espérant une reconnaissance correcte dans le flot d’images présentées et durant un laps de temps proportionné à la vitesse de déplacement du véhicule…

Voilà une limite toute simple et évidente qui nous éloigne à jamais des ordinateurs intelligents, le système informatique actuel est verrouillé par son ‘quadrillage’ et son mode binaire (0/1).

Cela nous amène à la fameuse ‘5G’ dont on nous promet des applications extraordinaires et notamment la conduite automatique des véhicules .Il s’agit de la cinquième génération de transmission radio électrique (en 20 ans !), l’espoir fait vivre mais ce rêve tient plus de l’utopie que du simple bon sens (rappel : la voie ferrée).

Il est bon de rappeler que les transmissions téléphoniques aux MOBILES s’effectuent dans des câbles en fibre optique sous forme de signaux lumineux et par voie hertzienne sous forme de signaux radio-électriques sur la dernière partie du parcours (du relais de retransmission vers le mobile) ors cette partie est extrêmement sensible aux attaques malveillantes (piratage, prise de contrôle par dénaturation des signaux) et que la seule protection de cette partie vulnérable est assurée par le cryptage des signaux qui ont pour inconvénient majeur l’augmentation du volume des données et constituent donc un facteur de ralentissement des transferts… que l’on a tenté de compenser en augmentant les performances afin de pouvoir correctement sécuriser les données qui vont ralentir…. tiens voilà une autre limite qui l’eut cru ???.00000

 

Précédente

 

 

COLOFA a choisi PYTHON pour développer ses logiciels

Bonjour et bienvenue à toutes et tous dans le monde de la programmation,

Nous avons choisi python3.10 pour développer nos logiciels et souhaitons vous faire connaitre ce fabuleux langage, simple, puissant et extrêmement efficace… c’est un hybride de C++, java et javascript dont il emprunte  les meilleures subtilités.

A Télécharger gratuitement sur >>https://www.python.org › downloads

> Choisir ‘python 3.10 msi for windows’ (installation automatique sur windows 7/8/10), la version 3.10 msi permet d’utiliser les bibliothèques PIL et PYGAME qui ne sont pas encore disponibles pour les versions supérieures.

Il a été largement vulgarisé par Gérard Swennen professeur de physique et biologie Belge avec son livre d’initiation tout public ‘Apprendre à programmer avec PYTHON 3’ (environ 32 €. format papier, 22€ format numérique)  >>>http://inforef.be/swi/python.htm

De multiples systèmes fonctionnent avec PYTHON, il est fourni avec la base de données SQLITE3 et possède de nombreuses bibliothèques telles que PIL (traitement d’images et conception de jeux 2D) et PYGAME (traitement du son et de la messagerie) à télécharger gratuitement.

Extrait de texte de http://fr.wikipedia.org/wiki/Python :

Python (en anglais : [ˈpaɪ.θɑːn]) est un langage de programmation interprété, multi-paradigme et multiplateformes. Il favorise la programmation impérative structurée, fonctionnelle et orientée objet. Il est doté d’un typage dynamique fort, d’une gestion automatique de la mémoire par ramasse-miettes et d’un système de gestion d’exceptions ; il est ainsi similaire à Perl, Ruby, Scheme, Smalltalk et Tcl.

Le langage Python est placé sous une licence libre proche de la licence BSD8 et fonctionne sur la plupart des plates-formes informatiques, des smartphones aux ordinateurs centraux9, de Windows à Unix avec notamment GNU/Linux en passant par macOS, ou encore Android, iOS, et peut aussi être traduit en Java ou .NET. Il est conçu pour optimiser la productivité des programmeurs en offrant des outils de haut niveau et une syntaxe simple à utiliser.Il est également apprécié par certains pédagogues qui y trouvent un langage où la syntaxe, clairement séparée des mécanismes de bas niveau, permet une initiation aisée aux concepts de base de la programmation10.

Nota : il vient d’être retenu comme langage officiel d’apprentissage à la programmation par l’éducation Nationale !.

Nous vous proposons de partager notre expérience afin de vous inciter à vous lancer dans le monde merveilleux et sans limite de la programmation car c’est un loisir distrayant, formateur et très enrichissant au fil du temps.

Maîtriser un ordinateur est un exercice très valorisant, instructif et gratifiant car il conduit naturellement à une  analyse plus pertinente des sujets et à une grande rigueur de raisonnement qui sont la base même de la programmation. Aucun pré requis n’est imposé, il suffit d’être curieux(se), patient(e) et appliqué(e) car la programmation n’admet aucune faute de conception ou de syntaxe, c’est en cela que ce loisir est formateur.

On se lance en supposant que vous avez parcouru le livre de Gérard Swinnen !

Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement (Boileau) donc nous allons présenter cette discipline avec le plus de simplicité et de clarté possible, au risque de heurter les puristes !.

Avant de vouloir ‘commander’ un ordinateur il faut d’abord savoir comment il fonctionne et comment l’alimenter. La matière de base est nommée ‘code’, c’est un texte écrit avec le clavier dans un éditeur de texte brut selon un langage composé de mots ‘clés’ et de texte rédactionnel usuel :

Voici un bout de ‘code source’ illustrant le sujet : on commande à l’ordinateur d’afficher du texte graphique (effaçable) à des endroits précis de l’écran : exemple  (ligne 540, colonne 370… self.can2 est le nom donné par le programmeur à la ‘surface’ d’écran recevant le texte)
self.can2.create_text(540,370,  text= »Part Non Alimentaire », font= »arial 10 italic bold « , fill= »red »)
self.can2.create_text(840,370, text= »Répartition des 4 semaines », font= »arial 10 italic bold », fill= »blue »)

 « create text » est un mot ‘clé de Python‘, « Part non alimentaire » est le texte qui va s’afficher sur l’écran,  font= »arial 10 italic bold », fill= »red » sont des mots ‘clés’ qui définissent le type de caractères, leur taille et leur couleur.

Lorsque le code est rédigé et vérifié, on lance son exécution avec la touche F5 du clavier si on développe le code source avec ‘Idle’ fourni dans le package python et incluant un éditeur de texte, un débogueur (signaleur d’erreur dans la rédaction du code), un pré-compilateur et un interpréteur traduisant le code source en langage machine (bits 0 et 1)  .

Exemple 1 : l’utilisateur demande (en général par action sur un bouton…) d’effectuer la mise à jour d’un certain nombre d’éléments.

> Deux solutions s’offrent au programmeur : soit il se contente d’autoriser la requête car il juge  la manoeuvre sans conséquences dommageables, soit il impose une série de contrôles avant d’autoriser ou interdire la requête demandée… on peut dire qu’il s’agit dans ce cas d’une décision ‘raisonnée’ que l’on peut qualifier ‘hyper programmation’  ou ‘hypercode’, ce que la mode actuelle qualifierait à tort  ‘intelligence artificielle’.

Exemple 2 : la conception d’un moteur de recherche implique souvent de l’hyper programmation > la recherche d’un mot dans un texte est classique, elle impose à l’ordinateur de trouver la correspondance du mot recherché dans un texte ou un ensemble complexe de données. Dans le cas de recherche simple on se contente de l’opérateur d’égalité (==) l’occurrence’ chat existe-t-elle oui ou non dans ce texte ?, mais  on peut améliorer la recherche en modifiant de façon dynamique l’occurrence recherchée et par une aide ponctuelle en faisant afficher quelques mots ‘proches’ de cette orthographe (catch,chatte,chatière…) que le programme va chercher dans une base de données, à charge pour l’utilisateur de faire son choix.

En résumé : la conception d’un programme informatique contient un certain nombre de ‘fonctions’ ordinaires (on se borne à faire exécuter sans contrôle supplémentaire les tâches simples et sans risque) et un certain nombre de ‘fonctions’ avec contrôles supplémentaires basés sur le raisonnement humain.(c’est ici que se déploie tout le savoir faire du programmeur).

Quels sont les risques de dérive d’un ordinateur ?... n’étant doué d’aucune intelligence ni de raisonnement, ni de sentiments il ne pourra qu’exécuter ce qu’on lui a écrit, c’est à dire donner le résultat attendu ou erroné si le raisonnement écrit (texte constituant le code) par le programmeur est … lui même erroné !, il peut au pire détruire ou modifier des données si un ordre malintentionné lui est donné (hackage), il faut donc tester tous les cas de figure avant de valider un projet.

L’IA (soit disant Intelligence Artificielle)  dont on nous rebat les oreilles dans tous les médias a pour but principal de développer un pseudo  ‘auto-apprentissage’ basé sur le choix de plusieurs scénarios (algorithmes mathématiques) résultant de l’analyse de plusieurs résultats liés à un problème donné : si l’utilisateur effectue telle action >  alors évaluer le résultat > proposer une autre approche elle même évaluée et évaluer le résultat, une autre approche elle même évaluée… etc (cette pratique se nomme : analyse et filtrage des résultats) et le programmeur imposera alors au final à la machine, l’exécution la plus favorable en termes de logique, et voilà, c’est enfin démystifié une fois pour toute, mais pour ce faire il est nécessaire de posséder une grande puissance de calcul lorsque l’on manipule un grand nombre de données… qui donnent  un grand nombre de résultats… qui imposent un grand nombre de contrôles… qui imposent….. et voilà la limite est atteinte, alors on clos ce chapitre !… voir la page suivante qui traite de l’IA et de la reconnaissance d’images.

C’est le casse tête de l’automatisation intégrale de la conduite automobile : il faut des dizaines de capteurs pour analyser des centaines de données pour avoir un résultat satisfaisant : si > les voies de circulation sont aménagées pour cela, si la signalisation est compatible , complète et entretenue, s’il ne neige pas, si la pluie n’est pas trop intense, si des branches ou des oiseaux ne viennent pas perturber la vision…etc, c.a.d impossible de concevoir un système à automatisation totale sur voie publique sauf sur parcours spécialement aménagé… on appelle cela ‘une voie ferrée‘ et ça existe depuis plus d’un siècle !.

Ceci nous conduit à aborder la phase de ‘débogage’ d’un code.

La mise au point d’un programme informatique nécessite une quantité de tests et de contrôles afin d’éliminer au fur et à mesure les erreurs de syntaxe (règles propre au langage), les fautes de frappe, ajuster les  affichages sur l’écran, la cohérence des informations d’aide à la saisie, la validité des résultats numériques… etc, c’est pourquoi il est conseillé d’utiliser l’outil ‘Idle’ de Python qui facilite la rédaction du code  et le débogage en indiquant la nature du défaut et le N° de ligne en cause.

Règles de base de conception d’un programme de type ‘événementiel’  :

On nomme ‘évènementiel’ un type de programme qui s’exécute selon les événements qui lui sont soumis, par exemple un ‘clic’ sur un bouton de commande envoie un signal qui va faire exécuter la partie du programme (fonction) à laquelle il est ‘connecté’ par cette action ou engendrer une ‘cascade’ en enchaînant l’exécution de plusieurs ‘fonctions successives’ (exemple : afficher tel texte sur telle zone de l’écran, ensuite effectuer telles opérations, ensuite enregistrer ces résultats, ensuite effacer cette partie d’écran, et enfin copier ce résultat dans la base de données… etc)

Un programme informatique de ce type se compose généralement d’une fenêtre (mère) contenant du texte, un ou plusieurs champs de saisie et d’affichage de résultats, une ou plusieurs listes de choix, et un ou plusieurs boutons de commande permettant l’interactivité entre l’humain et la machine par l’intermédiaire de la ou des ‘fonctions’ (voir les exemples du livre de Gérard Swennen).

Pour bien démarrer…

1 - Procéder par approche en confectionnant un 'squelette' constituant un code exécutable (création de la fenêtre mère et affichage d'un texte)

> vérifier et lancer le test, corriger si besoin et recommencer...

2 - Implanter les éléments de type graphique (champs de saisie et d'affichage) et les fonctions qui vont exploiter ces éléments.

> vérifier et lancer le test, corriger si besoin et recommencer... et oui, il faut être vigilant et patient pour mériter une récompense !. 

Les copies d’écran ci-dessous sont extraites de notre logiciel ‘MAJORDOME’

Aujourd’hui colofa.com est devenu colofa.fr

Une fenêtre de saisie et d’affichage … très complexe !

Trois fenêtres superposées sur l’écran !

 

Tableau dynamique des dépenses sur 12 mois extraites de notre base de données SQLITE3

 

 

Rédaction en cours…..

Precedente      Suivante

Extrait de naissance… de G P F

Voilà bientôt deux ans que le concept G P F est né, j’avoue qu’il m’a fait passer des nuits et manifesté quelques rébellions, mais quand on aime on pardonne c’est bien connu et c’est vrai,  aujourd’hui je lui ai tout pardonné car il me rend au centuple toutes les heures que je lui ai donné !.

Il faut dire que je suis atteint d’une ‘chatinite’ aigue, une maladie très répandue qui associée à l’informatique crée une complicité propice à la démesure… on se laisse vite entrainer dans une spirale pas du tout infernale mais très constructive. Il vous paraitra sans doute bizarre que j’associe mon ‘Gribouille’ au développement d’un concept mais c’est bien lui qui m’a soutenu durant tout ce temps de travail intensif, si bien que je m’adaptais à son rythme particulier : un tiers de nuit pour deux tiers de jour et je peux affirmer que ‘SA’ méthode est bonne !.

Après avoir usé un grand nombre de claviers et donné vie à quelques trillons d’octets durant de nombreuses années, je me suis demandé un jour  : au fait , combien me coûte vraiment ce chat ?. Entre la nourriture (c’était un fin gourmet), les visites chez le vétérinaire, les draps de lit et tentures déchirées et d’autres forfaits que par égard pour lui je ne citerai pas…(il aimait beaucoup ‘griffouiller’ les mollets de mon épouse) .et clac un collant fichu !,  la jalousie est un vilain défaut …

La question m’a beaucoup interpellé créant ainsi une cascade d’autres interrogations du même type : quelle est la part entre le coût des produits d’entretien, d’hygiène… et les notes d’alimentation ?, combien coûte l’entretien des véhicules, chaudière, tondeuse à gazon, vélos… et autres équipements, ne pourrait-on pas quantifier et analyser tout cela pour mieux mesurer la profondeur du ravin ou échouent la plus grande partie de nos ressources ?.

Ne pourrait-on pas améliorer notre train de vie sans se priver, juste en analysant de près nos dépenses, nos comportements d’achat ?…

De fil en aiguille, une foule d’interrogations est venue hanter mes neurones et il m’est apparu indispensable de traiter au plus vite ce sujet par ‘l’octet’ qui est rapidement devenu Mo (méga octet), avec le soutien de Gribouille (dans la lutte contre les insomnies).

Au fur et à mesure que j’explorais les multiples travers de ce gouffre sans fond, je déployais des trésors d’ingéniosité (pléonasme d’ingénieur !) pour tenter de sonder et découvrir ce monstre qui se moque de nous depuis trop longtemps.

Ainsi vont les pas de la découverte… toujours plus loin, toujours plus haut ! et à force ‘d’en rajouter’ des fonctions, on constate que le ‘monstre’ n’est pas plus malin que nous et qu’à défaut de l’apprivoiser on peut prévoir et calmer ses crises ‘d’eurocratie’.

Après cet hommage vibrant (et mérité) à mon fidèle soutien qui hélas m’a quitté à l’âge vénérable de dix huit ans et sept mois, je sais que grâce à lui, des milliers de familles vont pouvoir profiter de nos efforts conjoints, apprendre elles aussi à ‘maîtriser le monstre’ , et voir enfin l’avenir d’un œil nouveau, celui qui guide et accompagne après avoir trop subi.

Précédente            Suivante